Lethal League Blaze : Un Indé Bandant

Analyse Lethal League Blaze : Un Indé Bandant

PC

ONE

PS4

Titre: Lethal League Blaze
Développeur: Team Reptile
Éditeur: Team Reptile

Genre: Combat / Arcade
Multi: Oui (Local / Online 4 J)
Sortie: 24/10/2018

Config PC

(Réglage: High / Résolution: 3840x2560 / Fps: 60)
Carte Mère: Gigabyte X99 UD4 / Processeur: I7 5930k 4.3 Ghz / Carte Graphique: GTX 1070 MSI Gaming X / Ram: 32 Go DDR4 2133 mhz / Watercooling Corsair

Intro Maestro

Lethal League Blaze est la suite du premier jeu sortie en 2014 sous le nom de “Lethal League”. Le titre est un soft de combat atypique doté d’un gameplay arcade, il vous permet de choisir entre 6 combattants, dont le but est de toucher l’autre avec ce qui ressemble vaguement à une balle de Base Ball. Le jeu suis le principe de la balle au prisonnier, ce faire toucher même à vitesse faible vous fera perdre. Tout le sel de Lethal League résidé ainsi dans son gameplay ultra dynamique ne laissant droit qu’a peu de marge en terme d’erreur, le rendant au passage très apprécié des milieux dit compétitif, histoire de ce détendre entre Tekken, Soul Calibur et autre Street Fighter.

Lethal League 2.0 ?

Lethal League Blaze a la lourde tache de passer après un premier jeu qui frôlé l’excellence, donc la question qu’on serait en droit de ce poser si on a aimé ou, que l’on découvre la série: Qu’apporte ce second opus ? Ont ils totalement changé la formule ? Amélioré ? Agrémenté ? Et bien à vrai dire, un peu tout ca à la fois, tout en respectant le matériau d’origine qui a fais le succès du studio. Cependant, une question m’est quand même rester tout le long du test dans la tête: Si les nouveaux joueurs n’aurons aucun problème à intégrés les nouveaux mécanismes, est ce vrai pour les fans de la première heure ? Car ce qui est positif pour certains, sera vue d’un mauvais oeil par d’autre.

lethal league

Lethal League est un prototype codé de base en Flash, et dont la conception a débuté en 2013. Il sort de l’ombre en 2014 lors d’un rassemblement de développeur et d ‘esportif pour un tournois (UFGT), le jeu avait beau être à l’état de prototype, qu’il faisait déjà son petit effet lors de la convention. Après plusieurs mois de finition, le jeu sort en aout 2014 sous le nom de Lethal League, 6 combattants s’affrontent dans des match de 2 à 4 joueurs, autour du concepts de la balle au prisonnier, mais de manière bien plus violente et nerveuse. Les personnages possèdent tous un coup spécial rattaché à un design distinctif extremement fort concernant leur identité visuel, couplet à un jeu dont la seule règle s’apparente à celle de la mort subite: si la balle vous touche, c’est le Game Over.

– Le Jeu possède une direction artistique 2D en pixel art piochant du coté contre culturel (au air de Jet Set Radio), accompagné d’une OST au résonance début 90, le synthé et les grosses caisses feront battre le coeur des fans de Homework des Daft Punk… Mais produit par des artistes underground venant des bas fond, toujours de bon ton et donc par extension, dans la bonne direction. La difficulté des affrontements en 5 manches rebutera surement les casuals, mais fera le bonheurs des hard cores gamers, malgré un nombre restreins d’opposant, de stage ou de possibilité de mode de jeu, faisant bien ressentir que le titre est un premier jet de la part de la Team Reptile.

RAPTOR

SWITCH

CANDYMAN

SONATA

LATCH

DICE

Du 95 en 2018

Autant commencer par ce qui saute au yeux avant même le combat. Si Letheal League proposer 6 personnages jouables, Lethal League Blaze en propose 10. Les personnages ajoutaient au casting reste dans le ton graphique imposé par le premier opus, des protagonistes au design très marqué, et aux capacités propre collant parfaitement à leur propriétaire. Les 4 personnages rajouté sont Jet, DoomBox (Boss de Lethal League), Grid, et Nitro. Parmi tout les noms cité j’avoue avoir un gros faible pour le personnage de Jet (Illustré pour cette article). Mais la chose qui ressort le plus est le changement graphique: passant d’une 2D en pixel art à de la 3D en Cel Shading, histoire de garder ce coté cartoon déjanté issu du premier épisode… Un changement de taille au final, car il n’impacte pas seulement le visuel, mais également le gameplay en lui même, puisque les hitbox en subissent aussi les conséquences.

Mood 90

Passer la surprise graphique, on en vient à farfouiller un peu les menus pour y déceler les potentiels ajouts effectué par la petit équipe composé de 17 personnes. Après quelque inspections je débusque en effet mon bonheur dans l’incontournable “Galerie”. C’est ici que vous aurez tout le loisir de dépenser les points accumulé lors de vos parties, et ce afin de débloquer les classiques habituel, allant des stages en passant par les personnages et les musiques. Cette ajout certes modeste, permet au titre de rallonger sa durée de vie en solo. On regrettera un peu l’absence de costume alternatif pour les personnages, toute fois compensé par un truc issu des années 90; les fameux modes dit alternatif, ils sont aux nombres de 2: La destruction de cible ou, l’affrontement autour d’un bon match de volley. Lethal League Blaze sais compenser ses défauts avec des plus fort appréciables.

Grid : Un nouveau personnage

Enfin des choses déblocables

L’Apparition du mode histoire

Faire duré le "Plaisir" ?

Après avoir farfouillé un peu partout, je me décide enfin à lancer le jeu pour voir si le gameplay extremement nerveux de Lethal League allait être conservé ou, amélioré, voir endommagé. Je choisie un de mes perso d’affect qui est Raptor, un petit gars dont le design comme celui de ses copains me fait toujours penser aux héros de Micro Maniacs. Arriver sur le terrain et passer quelques manches, je retrouve bien effectivement la sensation de nervosité du premier opus, mais avec de grands changements apportaient au game design. Les concepteurs ont visiblement voulu allonger la durée des parties en rajoutant une barre de vie, désormais la balle ne vous tue plus en un coup, enfin, cela dépends surtout de sa vitesse d’exécution (dans le poste en bas au milieu de l’écran). Cette ajout bouleverse énormément le rythme de jeu, auparavant le sentiment de mort subite était palpable, là où Lethal League Blaze parait plus permissif. Un choix pouvant rebuter les fans hard core, mais permettant peut être d’élargir le jeu à un public plus casual.

Sérénade au Renouveau

Si le rythme des partie est chamboulé, il en vas de même avec l’approche du gameplay, et ce à cause de l’aspect 3D du jeu, et de ses hitbox qui en découlent. Le titre ce voit pourvu d’un maniement un peu différent du premier Lethal League, il est plus difficile d’envoyer vos frappes ver le contre bas, leur utilité sera surtout de casser la vitesse d’un tir adversaire. Un nouveau mouvement fais également son apparition, qui est la reprise de volet à main nue, en gros votre personnage reprends la balle avec sa main et effectue une relance avec, comme au Base Ball (complétant ainsi le mouvement de l’amortie qui remettait la balle en jeu sans couleur). Si le nouveau mouvement ce discute en terme d’utilité de temporisation, un effort fut fournie pour faire en sorte de démarquer les protagonistes entre eux, là ou le premier jeux ce contenté de proposer des personnages égaux dans leurs déplacements. D’ailleurs au passage, L’OST est toujours de bonne facture, le niveau égale celui du premier opus, tout en ce payant le luxe de resté au dessus du lot d’un paquet de jeux, dont des triple A (oui oui).

La Boule magique

Si les habitués louaient bien une qualité à Lethal League; C’est bien la maitrise du skillSAUF QUE, dans Lethal League Blaze nous avons droit à l’apparition d’une sorte de socle sous forme de machine à sous, permettant au personnage l’ayant envoyer, d’avoir droit à un bonus sur les capacité de la balle: Missile, balle cauchemars, bombe téléguidé etc….

Tout cela fais fortement penser à du Mario Kart, puisque l’arrivée de la fameuse machine sera toujours le fruit du hasard. Si les plus anciens se rappelleront sans aucun soucis les casses briques d’antan au moment de leur rénovation, il n’était pas question d’opposition d’être face à un adversaire, mais à un “casse tête” ou brique en l’occurrence. Ici, ajouté cette dose de hasard ne plaira pas forcément au hard core gamers… Mais saura surement amuser les casuals en quête d’imprévus.

Contexte + ou - Difficile

Dans les nouveautés, on dénombrera enfin un mode histoire ! Le mode challenge est maintenant renommé lui “Défi”. Le mode histoire sans être exceptionnel, permet de mettre un peu de perspective sur nos divers héros, afin de mieux cerner le cadre dans lequel nous évoluons. Certes, cela n’est pas fou-fou au vue de la mise en scène et de l’écriture, on a vue mieux et ce, même avec le premier modèle du genre qui est Tekken. Le mode a au moins le mérite de vous faire prendre en main tout les personnages du jeu… Si vous cherchez votre futur chou-chou. Autre point positif: l’ajustement de la difficulté, sur le premier jeu il était difficile d’atteindre le boss, et plus encore de le battre, dans Lethal League Blaze les développeurs on revus la difficulté et, sans être casual, celle-ci ce révèle bien mieux adapté et plaisante.

Console ou PC ?

Le jeu est doté naturellement d’un mode Online, mais également et surtout, d’une technique relativement solide. Aucune chute de FPS n’est à dénoter sur PC, si les effets d’ombres et de lumière sont loin d’être exceptionnel, cela devrais en contrepartie tournée sur les systèmes les plus modestes, malgré le peu d’option disponible, le jeu permet d’être afficher jusqu’en 4k60 sans aucun problème. Pour les consoles, au vue des textures utilisaient, de la complexités des skins: Lethal League Blaze tourne en 1080p pour les modèles standards de PS4 et de Xbox One, et surement jusqu’en 4k pour la PS4 Pro et la Xbox One X. Seul gros regret : Ne pas voir le jeu débarquer sur Switch, puisque techniquement c’est largement faisable, et le style de jeu s’adapterait parfaitement au style nomade de la Switch de Nintendo.

Fait péter la Zik !

o Si y a bien une chose qu’on ne manque de remarquer: C’est bien L’OST. Lethal League avait beau avoir peu de piste dans sa besace (6) chacune était quasiment un sans faute, mais qui en est l’auteur ? Et bien en faite c’est là où sa devient intéressant, comme tout héritier de la démoscene, ils ce sont tourner vers la scène underground contre culturel, avec des Artistes (avec un grand A), comme Klaus Veen, Grillo, ou en encore Dr Lazer.

o Le second opus vois les choses en un peu plus grand, puisque ce sont pas moins de 18 pistes dont 12 nouvelles qui font leur apparitions dans Lethal League Blaze. Si on compte les habitués cité plus haut, des ptit nouveau comme Pixelord font leur apparition, toujours dans ce ton Techno, Dance, Goa avec des teintes de résonance en provenance de Chicago diffusé par nos amis Daft Punk en 1997.

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EVALUATION

GRAPHISMES
/ 20
OST & BRUITAGES
/ 20
GAMEPLAY
/ 20
OPTIMISATION
/ 20
GAME DESIGN
/ 20
LEVEL DESIGN
/ 20
NOTE FINALE
/ 20
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RÉDACTEUR

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